Faire côtoyer ces deux termes amène inévitablement un questionnement.
Mais puisque cette note se veut pratique plus que problématique, et puisqu’il n’y a pas d’intention de vous faire passer de longues soirées sans réponse, nous laisserons de côté des interrogations du type « sommes-nous tous égaux devant une formation ? », ou pire ; « comment le devenir ? ».
Prenons une orientation plus raisonnable et optons pour un partage d’expérience à l’attention de tous les salariés et acteurs en responsabilité de formation.
Pour tous l’accès libre à une formation est maintenant un acquis (cf. Loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel) : UNE LIBERTE.
Ainsi donc observons l’accès à cette liberté d’action par le prisme de l’épanouissement de la personne formée et acceptons de ne pas imposer le choix de la formation aux salariés. Qu’obtenons-nous ?
-De la motivation et donc de l’investissement dans l’acte de formation ;
-Un nouveau réseau professionnel ;
-Une augmentation du champ des possibles de la part du formé et indirectement de son entreprise ;
-Un retour d’expériences transversales au bénéfice de l’entreprise ;
Et enfin et peut être surtout, le plaisir de s’enrichir d’un nouvel apprentissage, et ce, quel que soit son niveau de départ.
Pourrions-nous en déduire que la qualité de la formation se trouve moins dans le contenu de celle-ci que dans l’acte et la volonté de s’épanouir du formé ? Et si c’était cela que cherchaient les entreprises ? Pourrions-nous lier les deux mots titre de cette note et passer de bonnes soirées avec quelques réponses?